Jean-Claude Grumberg rappelle parfois que la Seconde Guerre mondiale a été aussi le moment d’actes d’amour puissants, de gestes de solidarités décisifs et salvateurs. « La plus précieuse des marchandises » nous parle avec une désarçonnante simplicité. La fluidité du conte nous entraîne dans l’histoire de pauvre bûcheron et pauvre bûcheronne qui recueillent un enfant qui aurait dû être déporté. Cette parole raconte un héroïsme spontané, sans idéologie. Le désir d’enfant de la bûcheronne est plus fort que l’antisémitisme. La haine devient absurde face à ce petit être qui tète, bouge, rit et remplit de vie la maison.
Demande de soutiens à l’automne 2023
Partenariats: Espace Malraux (Geispolsheim-67), Point d’Eau (Oswald-67), Le Diapason (Vendenheim-67), Agence culturelle Grand Est (Sélestat-67)